Bilan du mois de Novembre 2016
Je vous retrouve en ce début de mois de décembre pour vous faire la rétrospective du mois passé. Et comme le bilan du mois d'octobre ne m'a pas convaincu, je retourne à l'ancienne formule, que je trouve plus complète, plus lourde aussi, mais il y a plus d'images ...
Mes lectures :
Ce mois-ci je suis tombé par hasard sur le concours Kobo. J'ai donc profité d'alléger mon sac à main et de n'avoir que ma liseuse sur moi.
Kobo bien évidemment en partenariat avec la Fnac jusqu'à fin décembre propose de lire gratuitement les talents de demain & de voter pour les meilleurs romans de leur concours d’écriture. J'ai profité de cette occasion de faire le plein de nouveaux livres gratuits. On trouve tous les genres, toutes les longueurs, à vous de faire votre choix, de lire de noter et de critiquer. Je me suis focaliser sur des petits romans et aucun d'entre eux ne m'a déçu (en cliquant sur les couvertures vous découvrirez ma chronique) :
Elle en a passé des heures à rêver, à se demander ce qui peut bien se trouver derrière, mais on ne passe jamais la porte quand on est une Anomalie comme elle, seuls les Simiens aboutis ont droit à ce privilège. Alors elle vit dans le quartier des femelles depuis ses dix ans, depuis qu’elle a quitté les clapiers, au milieu de ses semblables. Enfin, semblables... Pas vraiment. Elle est une anomalie parmi les Anomalies, c’est un comble ! Une vie loin d’être idyllique, sans compter l’ombre du tyrannique Jaz, qui plane constamment sur son existence...
Le mot de la fin :
Un beau mois de novembre à défaut d'un temps pas vraiment clément, j'espère que décembre sera aussi bon en découvertes ...
Mes lectures :
Ce mois-ci je suis tombé par hasard sur le concours Kobo. J'ai donc profité d'alléger mon sac à main et de n'avoir que ma liseuse sur moi.
Kobo bien évidemment en partenariat avec la Fnac jusqu'à fin décembre propose de lire gratuitement les talents de demain & de voter pour les meilleurs romans de leur concours d’écriture. J'ai profité de cette occasion de faire le plein de nouveaux livres gratuits. On trouve tous les genres, toutes les longueurs, à vous de faire votre choix, de lire de noter et de critiquer. Je me suis focaliser sur des petits romans et aucun d'entre eux ne m'a déçu (en cliquant sur les couvertures vous découvrirez ma chronique) :
Merci à Jean Wysock et Françoise Vielzeuf de m'avoir contacté et de m'avoir écrit de si jolis mots suite aux chroniques de vos romans. Je suis très touchée.
J'espère continuer au mois de décembre à découvrir de nouveaux excellents romans et excellents auteurs.
En continuant à parcourir le site Kobo, j'ai fait également le plein de nouvelles gratuites. Voici les nouvelles chroniquées (en cliquant dessus).
Et puis j'ai fini des trilogies dont j'attendais la suite depuis 1 an (même principe la chronique se cache derrière la couverture...)
Et comme je suis faible comme beaucoup d'entre vous, j'ai commencé de nouvelles séries parce que j'en ai pas encore assez à finir dans ma PAL. Mais le bilan est mitigé en sachant que je lierai probablement pas la suite de deux d'entre elles. Les quelles ? Patienter, je vous dis tout dans mes coups de cœurs et mes déceptions (bon je répète pas pour les couvertures, et bien si car je n'ai pas chroniqué Ogamis en accord avec les éditions Persée car c'était un service presse).
Je finis donc ce mois de novembre 2016 en ayant lu 8 livres, 2 nouvelles et j'ai abandonné 1 livre, soit un total raisonnable de 2111 pages. Ce qui est pour moi une très bonne moyenne.
Mes coups de cœurs, mes déceptions :
Un très gros coups de cœur pour Chéri je crois que j'ai tué ton père de Jean Wysock, un thriller bien tordu, un mélange du style de Maxime Chattam avec de la vrai cruauté , tout en gardant le naturel de la police française à la Jean-Christophe Grangé. Une très très belle découverte, si vous êtes amateur du genre et que vous ne connaissez pas cet auteur foncez les yeux fermer.
Je ne sais pas pourquoi je m'étais imaginé que L'île serait la prochaine trilogie de dystopie qui aller révolutionner le genre, mais j'ai été déçue. Heureusement qu'il était gratuit et pas long, mais une chose est sure je ne lierai certainement pas la suite. Et puis j'ai abandonné le premier tome d'Ogamis, je pense sincèrement que ce livre peut avoir un réel succès auprès de ceux qui ont appréciés Les fiancés de l'hiver de Christelle Dabos, mais ce n'est malheureusement pas mon cas. J'ai décidé de ne pas écrire de chronique pour laisser la chance à cet auteur de faire connaitre son livre auprès d'un public plus averti. Pas que mon tout petit blog va changer la face du monde, mais j'ai la conscience tranquille ...
Mon livre que je souhaite absolument lire le mois prochain :
Cette nouvelle rubrique a pour but de me motiver à lire au moins le livre que je veux absolument lire, sans me faire polluer les idées, par le blog, les amis, les forums, les sites, les challenges, etc.
C'est mon livre plaisir, mais vrai plaisir du mois à venir, mon chouchou.
Et celui-ci, je l'attends depuis je crois trois ans, alors maintenant qu'il est sorti, ce n'est pas pour qu'il reste longtemps sur mes étagères ...
Mes rencontres avec des auteurs :
Je ne suis pas allée au salon de Montreuil parce que mon fils était malade, mais c'est aussi parce que j'avais déjà dépensé beaucoup trop d'argent aux 13ièmes rencontres de l'imaginaire. N'hésiter pas à découvrir toutes ces merveilleuses rencontres que j'ai faites au grès de ma déambulation ...
Mes envies pour le mois prochain :
Parce que on ne me changera pas, voici mes envies ... Raisonnable non ?Fille unique d'un riche banquier français et d'une marquise espagnole, Raphaella a tout pour être heureuse. A dix-huit ans, elle épouse le meilleur ami de son père, John Henry Phillips, financier de renommée internationale qui est tombé fou amoureux d'elle.
Après sept années d'un bonheur sans nuages, le destin frappe à la porte : John Henry est paralysé à vie. Raphaella décide alors de se consacrer entièrement à son mari et s'enferme avec lui dans cette prison dorée qu'est leur belle demeure de San Francisco. Jusqu'au jour où elle fait la connaissance d'un jeune avocat, brillant et séduisant, qui lui fait entrevoir la promesse d'un avenir à deux, où elle pourrait enfin s'épanouir pleinement. Raphaella laissera-t-elle un inconnu pénétrer dans un univers où nul n'a accès ? Osera-t-elle rêver à un bonheur qui lui est défendu et parviendra-t-elle à concilier son attirance pour Alex et son attachement à un homme qu'elle a passionnément aimé ?
Après sept années d'un bonheur sans nuages, le destin frappe à la porte : John Henry est paralysé à vie. Raphaella décide alors de se consacrer entièrement à son mari et s'enferme avec lui dans cette prison dorée qu'est leur belle demeure de San Francisco. Jusqu'au jour où elle fait la connaissance d'un jeune avocat, brillant et séduisant, qui lui fait entrevoir la promesse d'un avenir à deux, où elle pourrait enfin s'épanouir pleinement. Raphaella laissera-t-elle un inconnu pénétrer dans un univers où nul n'a accès ? Osera-t-elle rêver à un bonheur qui lui est défendu et parviendra-t-elle à concilier son attirance pour Alex et son attachement à un homme qu'elle a passionnément aimé ?
Martin Rawlinson est anglais, il a 49 ans. Il travaille pour la police de Trinidad et espère que l’essai sera concluant, car il espère bien changer de vie et s’installer définitivement sur l’île avec une belle trinadienne de 28 ans, Safiya. Son seul problème réside en une question : comment annoncer cela à sa femme, Miriam, et sa fille Gloria, restées en Angleterre ?
Mais justement, elles viennent le rejoindre pour quelques semaines de vacances, histoire de combler le fossé qui entre eux semble s’être creusé. Il loue pour l’occasion une villa luxueuse à Tobago donnant sur une plage de rêve. Miriam est pleine d’espoir... mais le vent va bientôt tourner.
Dans ce cadre paradisiaque, c’est la tragédie qui va frapper : un soir surgit de nulle part une bande de garçons... Gloria est violée, Miriam molestée et Martin roué de coups.
Martin découvre bien vite que la police indigène est corrompue jusqu’à l’os, que les hôpitaux menacent ruine, que tout ici va à vau-l’eau et que le danger est partout. Et que le paradis n’a jamais autant ressemblé à l’enfer.
Comme dans son roman précédent, Black Rock, prix du Premier roman étranger, Amanda Smyth mêle avec talent sensualité, violence et suspens pour nous montrer, petite touche par petite touche, combien l’enfer est proche du paradis.
Mais justement, elles viennent le rejoindre pour quelques semaines de vacances, histoire de combler le fossé qui entre eux semble s’être creusé. Il loue pour l’occasion une villa luxueuse à Tobago donnant sur une plage de rêve. Miriam est pleine d’espoir... mais le vent va bientôt tourner.
Dans ce cadre paradisiaque, c’est la tragédie qui va frapper : un soir surgit de nulle part une bande de garçons... Gloria est violée, Miriam molestée et Martin roué de coups.
Martin découvre bien vite que la police indigène est corrompue jusqu’à l’os, que les hôpitaux menacent ruine, que tout ici va à vau-l’eau et que le danger est partout. Et que le paradis n’a jamais autant ressemblé à l’enfer.
Comme dans son roman précédent, Black Rock, prix du Premier roman étranger, Amanda Smyth mêle avec talent sensualité, violence et suspens pour nous montrer, petite touche par petite touche, combien l’enfer est proche du paradis.
Ella a 28 ans, elle vit dans les tunnels depuis toujours. On lui a confié il y a trois mois, la charge du clapier 0-12 où vivent les bébés Simiens tout juste sortis du labo.
Les tunnels... Ce grand X qui abrite en son centre, la porte vers Simiutopia. Elle en a passé des heures à rêver, à se demander ce qui peut bien se trouver derrière, mais on ne passe jamais la porte quand on est une Anomalie comme elle, seuls les Simiens aboutis ont droit à ce privilège. Alors elle vit dans le quartier des femelles depuis ses dix ans, depuis qu’elle a quitté les clapiers, au milieu de ses semblables. Enfin, semblables... Pas vraiment. Elle est une anomalie parmi les Anomalies, c’est un comble ! Une vie loin d’être idyllique, sans compter l’ombre du tyrannique Jaz, qui plane constamment sur son existence...
Le mot de la fin :
Un beau mois de novembre à défaut d'un temps pas vraiment clément, j'espère que décembre sera aussi bon en découvertes ...
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