Bilan du mois de janvier 2018
Je commence cette année comme j'ai terminé la précédente, c'est à dire avec beaucoup de retard dans mes chroniques, il va falloir que je m'y mette ... Ce n'est pas que je ne me fais pas plaisir en vous présentant mes lectures, c'est juste que je ne prends pas le temps de la faire. Et oui, je focalise mon énergie ailleurs en ce moment, mais chut vous le saurez bien assez vite ...
Point particulier en ce mois de janvier, trois services presse et j'ai tenu les délais ou presque ...
Mes lectures du mois :
Ce début d'année est donc riche en lecture puisque j'ai réussi à lire 5 livres pour un total de 1386 pages. J'ai fait bien mieux par le passé, mais étant donné que j'ai lu 1 livre par mois au cours de l'année dernière, je trouve que je suis repartie sur les chapeaux de roues ... Seule chronique parue sur le blog : L'archipel. Retrouver également bientôt mon article sur ma rencontre avec Bertrand Puard.
Mes coups de cœur, mes déceptions :
Voilà mon premier coup de cœur de l'année 2018 avec Quand vient la vague. Je remercie Babelio et les éditions Rageot de m'avoir fait découvrir ce roman où les sentiments des protagonistes sont à leur paroxysmes. La chronique arrive dans la suite de cet article.
En revanche, j'ai été déçue par la duologie de The Ones, même si j'ai une légère préférence pour le second tome.
Book Hall :
Les livres présentés ci-dessus sont tous de nouveaux livres qui ont rejoints mes étagères et les trois derniers sont des services presse.
Mais ce ne sont pas les seuls, et je constate que la frénésie emprunteuse et acheteuse est de retour, il va falloir que je sois vigilante !!!
Donc en plus des 5 livres précédents voici les 3 autres :
Je souhaite faire un remerciement à ma ville qui a offert le livre de Victor Hugo à tous les habitants que nous avons découvert dans notre enveloppe des vœux du Maire. deux marques pages ont été ajoutés pour nous souhaiter une bonne année. Initiative originale, je passe que le fait que j'ai peur que certains de ces livres ont fini à la poubelle.
Les trois articles les plus consultés :
Pour les deux premiers se n'ait plus une surprise, comme ils sont en tête quasiment tous les mois, je suis plus surprise par le troisième, mais plutôt contente qu'un classique fasse son apparition dans ce top (vous pouvez-cliquer sur les couvertures pour lire ou relire ces articles).
Mes envies du mois de février :
Je vous ai fait une petite sélection totalement subjective, mais si vous avez de me faire un cadeau, au moins vous savez que choisir !!!! Pas trop subliminal comme message.
Une étrange épidémie a eu lieu dernièrement
Et s'est répandue dans Strasbourg
De telle sorte que, dans leur folie,
Beaucoup se mirent à danser
Et ne cessèrent jour et nuit, pendant deux mois
Sans interruption,
Jusqu'à tomber inconscients.
Beaucoup sont morts.
Chronique alsacienne, 1519
Il est parfois plus difficile de respirer en dehors de l'eau que dans les profondeurs des vastes océans...
Sur l'île de Jeju, au sud de la Corée, Hana et sa petite soeur Emi appartiennent à la communauté haenyeo, au sein de laquelle ce sont les femmes qui font vivre leur famille en pêchant en apnée.
Un jour, alors qu'Hana est en mer, elle aperçoit un soldat japonais sur la plage qui se dirige vers Emi. Aux deux filles on a maintes fois répété de ne jamais se retrouver seules avec un soldat. Craignant pour sa soeur, Hana rejoint le rivage aussi vite qu'elle le peut et se laisse enlever à sa place. Elle devient alors, comme des milliers d'autres Coréennes, une femme de réconfort en Mandchourie.
Ainsi commence l'histoire de deux soeurs violemment séparées. Alternant entre le récit d'Hana en 1943 et celui d'Emi en 2011, Filles de la mer se lit au rythme des vagues et dévoile un pan sombre et bouleversant de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale en Asie. Au fil du récit, par la grâce de leurs liens indéfectibles, les deux héroïnes nous ramènent vers la lumière, ou l'espoir triomphe des horreurs de la guerre.
Lorsqu’on est flic trop longtemps dans la même ville, toutes les rues mènent à des souvenirs que l’on préférerait oublier.
Chaque nouveau meurtre vous en rappelle un autre.
L’obsession n’est jamais loin.
Pour Kevin Byrne, inspecteur des homicides à Philadelphie, le traumatisme originel a eu lieu en 1976. Encore adolescent dans le quartier défavorisé de Devil’s Pocket, il a été impliqué de près dans un meurtre jamais résolu.
La fin de l’innocence pour Byrne.
Quarante ans plus tard, une affaire de meurtres en série le ramène à Devil’s Pocket, à ses amis d’alors, à ce passé qu’il a essayé, en vain, d’oublier.
Bientôt, le voile va se lever sur des secrets, des mensonges et une vérité qu’il aurait peut-être mieux valu ne jamais connaître.
Hambourg, 1947, l'été est écrasant de chaleur. L'inspecteur principal de la police allemande, Frank Stave, vivote dans une ville faite de privations et de rationnements. Il continue d'attendre des nouvelles de son fils disparu après la guerre dans la débâcle du front de l'Est mais commence à perdre espoir.
Dans un entrepôt en ruine, à deux pas du port désormais vide, le corps d'un enfant assassiné est découvert étalé sur une bombe qui n'a jamais explosé. La scène est macabre et le crime odieux. L'enquête va conduire l'inspecteur sur les traces des enfants-loup, ces orphelins de guerre qui vivent à l'écart de la société, sauf lorsque la faim les pousse au trafic ou à la prostitution.
Avec l'aide de son ami MacDonald, lieutenant anglais dans la police d'occupation, Frank Stave va mener l'enquête en se risquant dans une ville détruite où la loi est suspendue et la morale perdue.
Juliet, 17 ans, n’accepte pas la mort de sa mère, renversée quatre mois plus tôt par une voiture. Elle lui écrit des lettres qu’elle dépose sur sa tombe. Declan, petit délinquant qui effectue des travaux d’intérêt général au cimetière les trouve et décide de lui répondre de manière anonyme. Une correspondance commence entre "Cemetary Girl" et "The Dark".
Au fil des messages, Juliet découvre que son correspondant a lui aussi perdu un être cher : sa sœur. Lettre après lettre, ils apprennent à surmonter leur chagrin et leurs relations difficiles avec leurs proches, et ils tombent amoureux.
Ce qu’ils ignorent tous les deux, c’est qu’ils se détestent dans la vraie vie. Au cours du bal de fin d’année, Juliet insulte Declan. Elle se réfugie au cimetière, mais sa voiture tombe en panne. Paniquée, elle demande de l’aide à The Dark et en venant aider Cemetary Girl, Declan découvre son identité…
Elle a tout vu, mais faut-il la croire ?
Séparée de son mari et de leur fille, Anna vit recluse dans sa maison de Harlem, abreuvée de merlot, de bétabloquants et de vieux polars en noir et blanc. Quand elle ne joue pas aux échecs sur internet, elle espionne ses voisins. Surtout la famille Russel – un père, une mère et un adorable ado –, qui vient d'emménager en face. Un soir, Anna est témoin d'un crime. Mais comment convaincre la police quand on doute soi-même de sa raison ?
« Après un accident de voiture, Léo, professeure de philosophie dans un lycée du Sud-Ouest se réveille face au fantôme de sa grand-mère, mamie au caractère bien trempé et à la répartie cinglante. Contre toute attente, la jeune femme devra composer avec cette présence qui ne la quittera plus d’une semelle et va bouleverser sa vie irrémédiablement. »
Une histoire pour se reconstruire, qui fait du bien, mêlant amour, amitié et secrets de famille.
Le mot de la fin :
Promis, je mets à jour mes chroniques en retard, j'essaye d'avancer dans mes lectures, et je continue mon projet parallèle. Tout gérer sera compliqué mais j'y crois, j'ai droit encore de prendre de bonnes résolutions en février non ? Bonne lecture à tous ...
Joli bookhaul ! Dommage pour The Ones, ils me tentaient beaucoup :/
RépondreSupprimerPasse un joli mois, je te souhaite de belles lectures !
Merci beaucoup.
SupprimerOui grosse déception pour The Ones, j'en attendais beaucoup plus, surtout que l'idée de base était vraiment intéressante. J'espère être plus séduite par les oubliés qui est toujours et encore une dystopie, à suivre.
Je te souhaite également un bon mois de février riche en découverte.