Mercredi : jour des petis - Un agneau pour le dîner
Auteur : S. Smallman
Illustrateur : J. Deidemy
Editions : Milan
Genre : jeunesse à partir de 3 ans
Sortie : 2012
Pages : 32
Ma note : 17/20
Synopsis :
Par une nuit d'hiver, un agneau s'en vient frapper à la porte d'un vieux loup. Pauvre petit nigaud, voilà bien le moyen de finir en gigot ! Déjà le loup se lèche les babines...
Ce que nous en avons pensé :
Tout commence lorsque je donne le livre à mon fils et que je lui lis le titre. "De toute façon je sais que je loup ne va pas le manger !!!" Ca commence bien.
Nous suivons donc ce PAUVRE loup qui est réduit à manger de la soupe de légumes car il n'a pas de viande à se mettre sous la dent.
Je souhaite faire une parenthèse sur les couleurs choisies pour illustrer ce livre, beaucoup de rouge, de jaune, de vert et de jaune qui sont les couleurs dominantes de l'intérieur de la maison du loup, dehors, il s'agit de bleu, de noir et de blanc. Ce contraste de couleurs montre que même si le loup aimerait bien avoir du gigot à manger, il n'a pas vraiment à se peindre, il est bien au chaud, ce qui n'est pas le cas de notre PAUVRE petit agneau, transis de froid et recouvert de neige.
Mais quel idée aussi, de se promener au milieu de la neige tout seul et de frapper à la porte d'une personne que l'on connaît pas, première morale de l'histoire, ce n'est surement pas le but, mais ce passage m'a permis de rappeler à mon fils qu'il ne doit pas parler à des inconnus.
Le loup au grand cœur (et une fourchette derrière le dos !), va donc recueillir le malheureux pensant déjà à la bonne recette de cuisine qu'il va pouvoir préparer, mais c'est sans compté que l'agneau a faim, à froid et à sommeil. Alors notre PAUVRE loup va partager sa soupe de légumes, son coin de feu et ces bras. Là encore je ne sais pas si c'est fait exprès, mais merci de lier cette histoire à Georges Brassens des extraits ci-dessous :
Illustrateur : J. Deidemy
Editions : Milan
Genre : jeunesse à partir de 3 ans
Sortie : 2012
Pages : 32
Ma note : 17/20
Synopsis :
Par une nuit d'hiver, un agneau s'en vient frapper à la porte d'un vieux loup. Pauvre petit nigaud, voilà bien le moyen de finir en gigot ! Déjà le loup se lèche les babines...
Ce que nous en avons pensé :
Tout commence lorsque je donne le livre à mon fils et que je lui lis le titre. "De toute façon je sais que je loup ne va pas le manger !!!" Ca commence bien.
Nous suivons donc ce PAUVRE loup qui est réduit à manger de la soupe de légumes car il n'a pas de viande à se mettre sous la dent.
Je souhaite faire une parenthèse sur les couleurs choisies pour illustrer ce livre, beaucoup de rouge, de jaune, de vert et de jaune qui sont les couleurs dominantes de l'intérieur de la maison du loup, dehors, il s'agit de bleu, de noir et de blanc. Ce contraste de couleurs montre que même si le loup aimerait bien avoir du gigot à manger, il n'a pas vraiment à se peindre, il est bien au chaud, ce qui n'est pas le cas de notre PAUVRE petit agneau, transis de froid et recouvert de neige.
Mais quel idée aussi, de se promener au milieu de la neige tout seul et de frapper à la porte d'une personne que l'on connaît pas, première morale de l'histoire, ce n'est surement pas le but, mais ce passage m'a permis de rappeler à mon fils qu'il ne doit pas parler à des inconnus.
Le loup au grand cœur (et une fourchette derrière le dos !), va donc recueillir le malheureux pensant déjà à la bonne recette de cuisine qu'il va pouvoir préparer, mais c'est sans compté que l'agneau a faim, à froid et à sommeil. Alors notre PAUVRE loup va partager sa soupe de légumes, son coin de feu et ces bras. Là encore je ne sais pas si c'est fait exprès, mais merci de lier cette histoire à Georges Brassens des extraits ci-dessous :
"Ce n'était rien qu'un feu de bois,
Mais il m'avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
A la manièr' d'un feu de joi’."
Mais il m'avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
A la manièr' d'un feu de joi’."
"Ce n'était rien qu'un peu de pain,
Mais il m'avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
A la manièr' d'un grand festin."
Mais il m'avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
A la manièr' d'un grand festin."
Ah ce PAUVRE agneau, quel chance d'avoir été recueilli par une âme aussi charitable.
Je vous laisse la surprise de ce qui se passe ensuite, mais sachez une chose, mon fils avait raison : "Tu vois maman, je te l'avais bien dit que le loup il ne ferai rien à l'agneau" m'a dit mon ainé, le cadet a répondu "C'est trop nul !" J'ai terminé en leur promettant que demain soir, je leur préparerai un bon gigot !!! comment ça je suis horrible, non c'est juste la vérité ;)
Citations :
"-Ca vous dérange si j'entre un petit moment ? demanda-t-il.
-Mais je vous en prie, mon cher ricana le loup. vous êtes le bienvenu ! C'est justement l'heure du dîner..."
"-Par mes saintes moustaches ! s'exclama le loup. Je ne peux pas manger un agneaux gelé ! S'il y a bien une chose que je déteste, c'est le surgelé !"
Oh ! Il me plait bien celui-ci pour ma fille !
RépondreSupprimerC'est livre qui m'a bien plu et qui revient très souvent dans les choix de mon fils !
SupprimerJ'espère que tu l'appréciera également et ta fille aussi !!!!