D.I.M.I.L.Y.Tome 1 Did I Mention I Love You ? - Estelle Maskame
Auteur : Estelle Maskame
Éditions : Pocket Jeunesse
Genre : Young Adult
Date de parution : 2016
Pages : 410
"Si les films et les livres m'ont appris une chose, c'est que Los Angeles, ses habitants et ses plages sont ce qu'il y a de plus cool sur cette terre."
Synopsis :
Eden, 16 ans, va passer l'été dans la famille recomposée de son père, à Santa Monica, en Californie. Ce dernier a refait sa vie... Ce qui veut dire trois nouveaux demi-frères pour Eden. Le plus âgé, Tyler, est un vrai bad-boy : séducteur, égocentrique, violent...
Fascinée, elle ne peut s'empêcher de succomber au charme de la seule personne qui lui est défendue : son demi-frère.
Ce que j'en ai pensé :
Depuis le début de l'année, j'ai entendu parlé de nombreuses fois de la trilogie DIMILY. J'ai eu envie de découvrir le premier tome, car j'avais besoin d'une lecture facile, sans prise de tête. Et je n'ai pas été déçue.
Pourtant en commençant le roman, j'avais l'impression d'être transportée dans l'univers d'AFTER, aussi bien par l'écriture que par le déjà vu : la jeune fille bien sous tout rapport qui va rencontrer un Bad boy et va commencer à s'émanciper et faire des bêtises. Bla bla bla ... Mais Estelle Maskame a réussi après plusieurs chapitres à me faire définitivement oublié Tessa et Hardin au profit d'Eden et Tyler. Et c'est à ce moment précis que j'ai vraiment commencé à apprécier cette histoire. Alors oui, il n'y a pas beaucoup d'originalité, pas de grandes révélations, pas un moment où mon cœur c'est arrêté, mais que importe, l'auteure arrive à nous faire tenir en haleine par son jeu du chat et de la souris...
Je n'avais pas vraiment apprécié, lors de mes lectures précédents les livres que l'on qualifie de littérature Young Adult en leur reprochant leur manque d'émotions, leur manque de passion que l'on ressent lorsque l'on est adolescent, leur manque d'agressivité, leur manque de dérapage. Mais ici, c'est différent, j'ai enfin pu ressentir toutes ces émotions, même si je ne me suis pas attachée aux personnages. Alors comment dois-je "catégoriser" ce roman ? Une romance, comme le suggère l'éditeur PKJ ? Nous sommes en effet proche du schéma classique de la romance à savoir : une fille arrive dans un lieu qu'elle ne connait pas, déteste un homme a qui elle est destinée (ou pas), en tombe finalement éperdument amoureuse malgré la maltraitance sur elle, l'homme finalement succombe à l'intelligence, la beauté et ils vivent le plus grand bonheur jusqu'à la fin de leurs jours... Que c'est beau dit comme ça !!! Mais ici Estelle Maskame, ne nous propose pas vraiment une romance à l'eau de rose. Elle nous propose quelque chose à la limite de l'érotisme, non, soyez rassurerou pas, c'est extrêmement soft (un peu trop !!!), seul le terme fellation est utilisé une fois dans une discussion entre copines (Oh mon dieu, c'est affreux comme langage!!). Aucune description osée n'est faite, ce livre peut vraiment être abordé à partir de 15 ans. Mais je pense que la catégorie Young Adult (comme je pouvais le dire un peu plus haut) serait plus appropriée pour ce roman. En effet, ce qui caractérise ce genre de romans, se sont les sujets plus adultes que ceux abordés dans les romans jeunesse : maladie, homosexualité, sexe, drogue, grossesse précoce mais aussi amour, amitié, le tout écrit de façon très rythmée. C'est exactement ce que nous propose l'auteure dans ce premier tome. Presque tous les sujets évoqués ci-avant sont évoqués. Je vous laisse le plaisir de les découvrir, mais une chose est sûre, on est très vite accro à cette série ...
Citations :
"Il veut peut être que ça marche, mais moi, je ne suis pas emballée par cette histoire de famille recomposée modèle. Avoir une belle-mère ne me réjouit pas plus que ça. Je veux une famille nucléaire, une famille comme dans les pubs, avec ma mère, mon père et moi. Je n'aime pas devoir m'adapter. Je n'aime pas le changement."
"Elle m'adresse un sourire triste. J'ai toujours trouvé ça bizarre, les gens qui sourient alors qu'ils sont tristes. Un sourire triste ça n'existe pas, c'est juste un sourire courageux."
Ce qu'il me reste dans la tête :
Taylor qui arrive à la première réception, complétement déboussolé, ivre et empli de rage.
La scène de la cabine d'essayage ... très amusante à mon goût.
La soirée interdite de la plage, Eden éméchée qui danse ses chaussures dans ses mains.
La scène dans le couloir du lycée le jour du 4 juillet, avec le feu d'artifice très romantique.
Le mot de la fin :
Un premier tome qui nous entraine vers des vacances luxueuses. Une écriture addictive, où même si l'histoire n'est pas très originale, nous emporte au bras d'Eden pour jeter le grappin su Taylor. On se laisse porter par l'histoire, de très beaux moments à découvrir. SOFT garanti...
Éditions : Pocket Jeunesse
Genre : Young Adult
Date de parution : 2016
Pages : 410
"Si les films et les livres m'ont appris une chose, c'est que Los Angeles, ses habitants et ses plages sont ce qu'il y a de plus cool sur cette terre."
Synopsis :
Eden, 16 ans, va passer l'été dans la famille recomposée de son père, à Santa Monica, en Californie. Ce dernier a refait sa vie... Ce qui veut dire trois nouveaux demi-frères pour Eden. Le plus âgé, Tyler, est un vrai bad-boy : séducteur, égocentrique, violent...
Fascinée, elle ne peut s'empêcher de succomber au charme de la seule personne qui lui est défendue : son demi-frère.
Ce que j'en ai pensé :
Depuis le début de l'année, j'ai entendu parlé de nombreuses fois de la trilogie DIMILY. J'ai eu envie de découvrir le premier tome, car j'avais besoin d'une lecture facile, sans prise de tête. Et je n'ai pas été déçue.
Pourtant en commençant le roman, j'avais l'impression d'être transportée dans l'univers d'AFTER, aussi bien par l'écriture que par le déjà vu : la jeune fille bien sous tout rapport qui va rencontrer un Bad boy et va commencer à s'émanciper et faire des bêtises. Bla bla bla ... Mais Estelle Maskame a réussi après plusieurs chapitres à me faire définitivement oublié Tessa et Hardin au profit d'Eden et Tyler. Et c'est à ce moment précis que j'ai vraiment commencé à apprécier cette histoire. Alors oui, il n'y a pas beaucoup d'originalité, pas de grandes révélations, pas un moment où mon cœur c'est arrêté, mais que importe, l'auteure arrive à nous faire tenir en haleine par son jeu du chat et de la souris...
Je n'avais pas vraiment apprécié, lors de mes lectures précédents les livres que l'on qualifie de littérature Young Adult en leur reprochant leur manque d'émotions, leur manque de passion que l'on ressent lorsque l'on est adolescent, leur manque d'agressivité, leur manque de dérapage. Mais ici, c'est différent, j'ai enfin pu ressentir toutes ces émotions, même si je ne me suis pas attachée aux personnages. Alors comment dois-je "catégoriser" ce roman ? Une romance, comme le suggère l'éditeur PKJ ? Nous sommes en effet proche du schéma classique de la romance à savoir : une fille arrive dans un lieu qu'elle ne connait pas, déteste un homme a qui elle est destinée (ou pas), en tombe finalement éperdument amoureuse malgré la maltraitance sur elle, l'homme finalement succombe à l'intelligence, la beauté et ils vivent le plus grand bonheur jusqu'à la fin de leurs jours... Que c'est beau dit comme ça !!! Mais ici Estelle Maskame, ne nous propose pas vraiment une romance à l'eau de rose. Elle nous propose quelque chose à la limite de l'érotisme, non, soyez rassurer
Citations :
"Il veut peut être que ça marche, mais moi, je ne suis pas emballée par cette histoire de famille recomposée modèle. Avoir une belle-mère ne me réjouit pas plus que ça. Je veux une famille nucléaire, une famille comme dans les pubs, avec ma mère, mon père et moi. Je n'aime pas devoir m'adapter. Je n'aime pas le changement."
"Elle m'adresse un sourire triste. J'ai toujours trouvé ça bizarre, les gens qui sourient alors qu'ils sont tristes. Un sourire triste ça n'existe pas, c'est juste un sourire courageux."
Ce qu'il me reste dans la tête :
Taylor qui arrive à la première réception, complétement déboussolé, ivre et empli de rage.
La scène de la cabine d'essayage ... très amusante à mon goût.
La soirée interdite de la plage, Eden éméchée qui danse ses chaussures dans ses mains.
La scène dans le couloir du lycée le jour du 4 juillet, avec le feu d'artifice très romantique.
Le mot de la fin :
Un premier tome qui nous entraine vers des vacances luxueuses. Une écriture addictive, où même si l'histoire n'est pas très originale, nous emporte au bras d'Eden pour jeter le grappin su Taylor. On se laisse porter par l'histoire, de très beaux moments à découvrir. SOFT garanti...
Livre 1 : Did I Mention I Love You ?
Livre 3 : Did I Mention I Miss You ?
***
J'ai finalement craqué et acheté ce premier tome le mois dernier, mais en anglais par contre, histoire de corser le truc :) Je pense que j'aimerais bien, mais je me demande vraiment si ça mérite tout ce foin qu'il y a eu autour de ce livre ^^
RépondreSupprimerComme tu le sais j'étais en panne livresque depuis le mois d'aout. J'avais besoin de quelque chose de simple, d'où mon choix pour ce livre. C'est plutôt sympa mais à en faire tout un foin, peut-être pas, et comme je le dis dans mon article, j'ai trouvé DIMLY trop SOFT et AFTER trop Hard, il faudrait que je trouve quelque chose d'intermédiaire maintenant...
SupprimerQuand au tome 2, chut la chronique arrive ...
Moi j'aime bien quand c'est hyper soft! Quand c'est tout gentil et tout sage. C'est pour ça que j'aime autant le YA et que j'aime aussi peu le NA ^^
SupprimerC'est quoi le NA ? Je suis plus entre les deux comme dans Outlander !!!
SupprimerLe NA c'est le New Adult :)
SupprimerMerci ;)
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