Calendar Girl : Mars - Audrey Carlan
Auteur : Audrey Carlan
Éditions : Hugo
Genre : Erotisme
Date de publication originale : 2017
Pages : 155
"J'ai à peine posé le pied sur le sol carrelé de l'aéroport de Las Vegas que je suis écrasée entre deux corps - l'un grand et mince, l'autre petit et robuste."
Synopsis :
Avant de s’envoler vers sa prochaine mission, Mia fait un petit séjour à Las Vegas où elle retrouve sa sœur et sa meilleure amie. Elle en profite pour aller rendre visite à son père qui est toujours dans le coma. Elle a rendez-vous avec son usurier pour lui remettre le deuxième versement, et cette rencontre n’est pas des plus sympathiques ! Mais la voilà à nouveau dans un avion, direction Chicago, pour y retrouver le bel Anthony Fasano, propriétaire d’un restaurant italien.
Dans cette série :
Janvier - Février - Mars - Avril - Mai - Juin
Ce que j'en ai pensé :
Audrey Carlan nous emmène dans la ville du vent : Chicago. Le nouveau client de Mia n'est rien d'autre qu'un bellâtre italien body-sculpté. Anthony ressemble à ces statues italiennes de marbre ou chaque muscle est gravé avec tant de réalisme. Le genre de statue que chaque femme n'a qu'une envie : toucher les contours parfaits de la musculature latine et qui connait la frustration du panneau "Ne pas toucher", grrr!!!
Ici aussi, Mia est dans le même état de frustration, à l'exception que la statue de Dieu italien a pris vie : le corps chaud et le sourire aux lèvres. Frustration vite envolée au profit de l'amitié, de l'entraide, de l'épaule compatissante et rassurante. On découvre Mia dans un nouveau rôle, celui de la femme forte, meilleure amie, solidaire et un peu entremetteuse.
J'ai, une fois n'est pas coutume, moins apprécié ce tome, et oui je suis une fois de plus à contre courant des tendances des bloggeuses.
J'ai trouvé les sentiments pas assez fouillés, le contexte et la conclusion édulcorés. Audrey Carlan écrit des romans érotiques mais est une incontestable optimiste romantique, vivant au pays des bisounours. Tout est bien qui fini bien, il me manque de l'explosivité, des cris, des larmes, des regards durs, le ton qui monte, le thème traité ici dans ce tome méritait un vrai feu d'artifice, c'est au final plat et replat.
Petit bonus :
En lisant ce roman, j'ai au moins paris une chose, qu'il faut visiter Chicago au moment de la Saint Patrick, une fête de tous les diables dans les rues, et le fleuves teintés de vert.
Depuis 1962, vers 9 heures du matin, les organisateurs déversent de grandes quantités de fluorescéine, une substance de couleur jaune orangée qui émet une lumière fluorescente verte lorsqu’elle entre en contact avec les ultraviolets.
Citations :
"- Je sens qu'on va s'amuser, ce mois-ci.
Je tourne les talons et ouvre la porte.
-A quoi bon vivre si tout est prévisible."
"-Ce ne sera jamais le bon moment pour faire du mal à quelqu'un[...]mais lorsque ce sera fait, tu n'auras plus jamais à le refaire. Tu n'auras plus à t'en soucier. Tu passeras à autre chose. Tout le monde passera à autre chose."
Le mot de la fin :
On lit, on passe un bon moment tout simplement, on lève souvent les yeux au ciel, on sourit, et on attend la suite ...
Éditions : Hugo
Genre : Erotisme
Date de publication originale : 2017
Pages : 155
"J'ai à peine posé le pied sur le sol carrelé de l'aéroport de Las Vegas que je suis écrasée entre deux corps - l'un grand et mince, l'autre petit et robuste."
Synopsis :
Avant de s’envoler vers sa prochaine mission, Mia fait un petit séjour à Las Vegas où elle retrouve sa sœur et sa meilleure amie. Elle en profite pour aller rendre visite à son père qui est toujours dans le coma. Elle a rendez-vous avec son usurier pour lui remettre le deuxième versement, et cette rencontre n’est pas des plus sympathiques ! Mais la voilà à nouveau dans un avion, direction Chicago, pour y retrouver le bel Anthony Fasano, propriétaire d’un restaurant italien.
Dans cette série :
Janvier - Février - Mars - Avril - Mai - Juin
Ce que j'en ai pensé :
Audrey Carlan nous emmène dans la ville du vent : Chicago. Le nouveau client de Mia n'est rien d'autre qu'un bellâtre italien body-sculpté. Anthony ressemble à ces statues italiennes de marbre ou chaque muscle est gravé avec tant de réalisme. Le genre de statue que chaque femme n'a qu'une envie : toucher les contours parfaits de la musculature latine et qui connait la frustration du panneau "Ne pas toucher", grrr!!!
Ici aussi, Mia est dans le même état de frustration, à l'exception que la statue de Dieu italien a pris vie : le corps chaud et le sourire aux lèvres. Frustration vite envolée au profit de l'amitié, de l'entraide, de l'épaule compatissante et rassurante. On découvre Mia dans un nouveau rôle, celui de la femme forte, meilleure amie, solidaire et un peu entremetteuse.
J'ai, une fois n'est pas coutume, moins apprécié ce tome, et oui je suis une fois de plus à contre courant des tendances des bloggeuses.
J'ai trouvé les sentiments pas assez fouillés, le contexte et la conclusion édulcorés. Audrey Carlan écrit des romans érotiques mais est une incontestable optimiste romantique, vivant au pays des bisounours. Tout est bien qui fini bien, il me manque de l'explosivité, des cris, des larmes, des regards durs, le ton qui monte, le thème traité ici dans ce tome méritait un vrai feu d'artifice, c'est au final plat et replat.
Petit bonus :
En lisant ce roman, j'ai au moins paris une chose, qu'il faut visiter Chicago au moment de la Saint Patrick, une fête de tous les diables dans les rues, et le fleuves teintés de vert.
Depuis 1962, vers 9 heures du matin, les organisateurs déversent de grandes quantités de fluorescéine, une substance de couleur jaune orangée qui émet une lumière fluorescente verte lorsqu’elle entre en contact avec les ultraviolets.
Citations :
"- Je sens qu'on va s'amuser, ce mois-ci.
Je tourne les talons et ouvre la porte.
-A quoi bon vivre si tout est prévisible."
"-Ce ne sera jamais le bon moment pour faire du mal à quelqu'un[...]mais lorsque ce sera fait, tu n'auras plus jamais à le refaire. Tu n'auras plus à t'en soucier. Tu passeras à autre chose. Tout le monde passera à autre chose."
Le mot de la fin :
On lit, on passe un bon moment tout simplement, on lève souvent les yeux au ciel, on sourit, et on attend la suite ...
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