BILAN NOVEMBRE 2025
Vous aurez peut-être remarqué que j'ai été beaucoup moins présente, sur mon suivi ou sur les vôtres. Le mois de novembre a été terriblement éprouvant et j'ai du prendre du recul pour cause de non motivation.
Je vous en parle rapidement, juste parce que j'ai envie de vous faire part de mon état d'esprit. Je suis donc passé au Tribunal au début du mois, et j'ai dû attendre la fin de mois pour avoir la décision du jugement qui s'est soldé par un non lieu alors que toutes les parties extérieures me donnaient raison. C'est une très grosse déception, il faut que j'encaisse. Une année complète de lutte, de dossiers, d'échanges, de sacrifices personnels, pour un résultat inexistant. J'ai perdu, encore, et je me rappelle ces mots qui font mal : "la justice est aveugle".
Et puis le lendemain de cette nouvelle, j'ai perdu ma cousine, un choc, une tristesse immense s'est emparée de moi. Les mots ne sont pas suffisants pour dire la peine que je ressens et mes pensées vont toujours à ses parents aimants, à sa sœur perdue. Je t'aime fort et continue de briller comme tu l'as fait ici à nos côtés.
Vous comprendrez ainsi que j'ai eu beaucoup moins envie de lire et j'ai lu 4 livres pour un total de 1 574 pages.
Voici donc mes lectures du mois :
La fille qui prenait les armes - Amy HarmonUne héroïne libre, une romance douce, une guerre implacable . Après la lenteur du début, l'histoire vibre d'indépendance et de passion. Amy Harmon nous offre le portrait d’une jeune femme indomptable dont la force, le courage et la sensibilité marquent. La romance, douce et délicate, apporte une belle humanité à cette histoire. Un beau récit malgré ses longueurs et ses libertés historiques.
Les mains du miracle - Joseph KesselUn livre important pour son sujet, essentiel pour sa mémoire, mais décevant dans sa forme. Un témoignage précieux porté par une plume qui, pour moi, manque de souffle.
Où s'adosse le ciel - David DiopUn voyage initiatique puissant mais sans doute difficile d'accès, entre Égypte et Sénégal, où histoire et légende se répondent pour éclairer la quête des origines de Bilal Seck. L’alternance des époques crée une épopée dense, portée par une écriture hypnotique et magistrale en totale immersion. Un récit vibrant sur la mémoire, les ancêtres et la transmission, qui continue de résonner longtemps.
La maison de la nuit, tome 12 : Sauvée - P. C. CastUn dernier tome longuet mais sauvé par une Neferet magistrale, sombre et impitoyable.
La team Zoey, trop effacée, manque d’intensité.
Une fin rapide et prévisible, mais une conclusion logique pour la saga.
Je vous retrouve bientôt avec de nouveaux articles. Très bonne semaine.

Je suis désolée pour ces moments douloureux, et j'imagine bien que tu n'aies pas eu la tête à lire.
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