Nos étoiles contraires - John Green

Catégorie : Young Adult

Le mot de l'éditeur :
Entre rire et larmes, le destin bouleversant de deux amoureux de la vie.
Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.

Ce que j'en ai pensé :
Quand j'ai pris ce livre sur l'étagère d'un supermarché, c'est la couverture qui m'avait plu, les commentaires inscrits au dos de la couverture étaient attrayants, alors pas d'hésitation, je l'ai pris. Je ne savais même pas qu'un film était sorti !!!
J'ai lu ce livre rapidement, sans difficulté (en effet, il est proposé à partir de 13 ans). Mais il me laisse un goût amer dans la bouche.
L'histoire est sympa, des rebondissements qui ne nous permettent pas de dire en avance comment cela va finir, mais il manque quelque chose. Il me manque la larme à l'œil qui n'est jamais venue et je l'attends toujours. Oui, il y a des rires, de l'émotion candide, mais je voulais du romanesque, du désespoir, de la violence dans les sentiments, des cris, des pleurs,... Le livre retrace tout ça mais en demi teinte, telle une aquarelle alors que j'attendais une peinture au couteau.

Commentaires

  1. Justement, je trouve que c'est ce parti pris d'anti-pathos qui fait toute la force de ce roman et le distingue des autres romans sur le même sujet.

    Des livres où l'on pleure à longueur de pages sur la mort et le cancer qui emporte les gens trop tôt, il y en a déjà pas mal. Celui là sort de l'ordinaire, prend le contre-pied du destin en gardant un cynisme et une force à toute épreuve... Du moins c'est le sentiment que j'ai eu en le lisant...

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    Réponses
    1. Je suis entière ment d'accord avec toi en ce qui concerne le contre-pied et le cynisme. Mais je reste vraiment sur ma faim Et plus particulièrement lorsque augustus est sur son lit et ensuite lorsqu'elle récupère son carnet, j'aurai voulu quelque chose de plus tranchant dans l'écriture, soit plus de cynisme, soit plus de profondeur (détails des émotions des autres). J'aurais aimer que dans ce livre il y ai un changement palpable d'atmosphère, je trouve que ce dernier reste trop longitudinal.
      Je n'ai pas demandé non plus qu'on l'on pleure à chaque page, j'aurai voulu ressentir juste un peu plus d'émotions, je n'ai pas été réellement touchée par les personnage. Je suis peut être trop vieille !!!!

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