Sleepy Hollow La légende du Cavalier sans tête - Washington Irving
Auteur : Washington irving
Éditions : Mille et une nuits
Genre : Nouvelle
Date de publication originale : 1820
Pages : 57
"Au cœur d'une de ces amples criques qui échancrent la rive est de l'Hudson, là où le fleuve s'étale pour former ce que les anciens navigateurs hollandais appelaient la Tappan Zee, qu'ils ne traversaient d'ailleurs pas sans réduire prudemment leurs voiles ni implorer la protection de Saint Nicolas, se trouve un petit bourg, un port campagnard, que certains appellent Greensburgh, mais qui de manière pertinente, est plus connu sous le nom de Tarry Town. "
Synopsis :
A la fin du XVIIIe siècle, un vallon ensommeillé sur les bords de l'Hudson où vit une paisible communauté d'origine hollandaise... La légende qui s'y colporte d'un fantômatique cavalier furieux vient à menacer la quiétude de ses habitants. On raconte qu'il décapite dans sa course folle tous ceux qu'il rencontre, et lui-même serait sans tête...
Ce que j'en ai pensé :
Lorsque l'on dit Sleepy Hollow, on pense forcément à Tim Burton et son film effrayant dégoulinant d'hémoglobine, comment ça je ne suis pas une grande fan de Tim Burton !!! Et bien non. N'ayant pas apprécié le film, et ayant trouvé ce petit livre dans un carton, j'ai décidé de me plonger dans cette nouvelle pour avoir une idée plus précise de l'histoire qui a inspiré Tim Burton.
Alors oui, c'est évident, aux grands admirateurs du films, je dois vous le dire, passer votre chemin, ça vous évitera au passage de rencontrer la cavalier sans tête !!! Ici, pas d'effusions de sang, pas de cheval noir au galop, pas de fantôme qui traverse les arbres. C'est un conte extrêmement soft. Plus qu'une histoire c'est une atmosphère étrange, qui nous entoure en lisant cette nouvelle. J'ai été surprise d'apprendre qu'elle a été publiée en 1820, les effets spéciaux n'existaient pas à cette époque, donc rien de bien sensationnel dans ce livre.
On est juste bercé par l'onde pure de l'Hudson, on rencontre Ichabod Crane, instituteur, conteur et
amateur de sorcellerie ou du moins de leurs histoires effrayantes, qui vit au crochet des parents de ses élèves et choisit son gîte en fonction de son couvert. Il tombe amoureux de Katrina Van Tassel, la fille d'un des fermier les plus riches de la région et va devoir essayer de se mettre en avant, car son rival n'est autre que Brom Van Breunt, dit Brom Bones, le plus fort et plus bête du village, je n'ai pu m'empêcher de l'imaginer comme Gaston dans la Belle et la Bête de Walt Disney. Et voilà, en fait tout est déjà dit, il ne se passe pas grand chose. Sauf à la fin, où on s'approche du chevalier sans tête, mais est-ce vrai où seulement une farce, à vous de le deviner ?
Ce n'est pas que je n'ai pas apprécié ma lecture, je suis juste restée indifférente aux personnages, mais certains passages m'ont fait sourire puisqu'ils montrent l'état d'esprit de l'époque.
Citations :
"Il était, en outre, considéré par les femmes , un homme d'une grande condition ayant lu plusieurs livres jusqu'au bout."
"Balt Van Tasser avait l'esprit plutôt large, il aimait sa fille plus encore que sa pipe préférée."
Ce qu'il me reste dans la tête :
Ichabod fier comme un pape sur sa malheureuse monture qui est en train de trépasser.
Les barricades de l'école, pour y voler, au final rien.
Le mot de la fin :
Une nouvelle parue en 1820, qui traduit les contes et mystères de l'époque. Mais si vous êtes fan du film, n'approcher pas, vous ne pourrez qu'être déçu tellement on est loin de la revisite.
Éditions : Mille et une nuits
Genre : Nouvelle
Date de publication originale : 1820
Pages : 57
"Au cœur d'une de ces amples criques qui échancrent la rive est de l'Hudson, là où le fleuve s'étale pour former ce que les anciens navigateurs hollandais appelaient la Tappan Zee, qu'ils ne traversaient d'ailleurs pas sans réduire prudemment leurs voiles ni implorer la protection de Saint Nicolas, se trouve un petit bourg, un port campagnard, que certains appellent Greensburgh, mais qui de manière pertinente, est plus connu sous le nom de Tarry Town. "
Synopsis :
A la fin du XVIIIe siècle, un vallon ensommeillé sur les bords de l'Hudson où vit une paisible communauté d'origine hollandaise... La légende qui s'y colporte d'un fantômatique cavalier furieux vient à menacer la quiétude de ses habitants. On raconte qu'il décapite dans sa course folle tous ceux qu'il rencontre, et lui-même serait sans tête...
Ce que j'en ai pensé :
Lorsque l'on dit Sleepy Hollow, on pense forcément à Tim Burton et son film effrayant dégoulinant d'hémoglobine, comment ça je ne suis pas une grande fan de Tim Burton !!! Et bien non. N'ayant pas apprécié le film, et ayant trouvé ce petit livre dans un carton, j'ai décidé de me plonger dans cette nouvelle pour avoir une idée plus précise de l'histoire qui a inspiré Tim Burton.
Alors oui, c'est évident, aux grands admirateurs du films, je dois vous le dire, passer votre chemin, ça vous évitera au passage de rencontrer la cavalier sans tête !!! Ici, pas d'effusions de sang, pas de cheval noir au galop, pas de fantôme qui traverse les arbres. C'est un conte extrêmement soft. Plus qu'une histoire c'est une atmosphère étrange, qui nous entoure en lisant cette nouvelle. J'ai été surprise d'apprendre qu'elle a été publiée en 1820, les effets spéciaux n'existaient pas à cette époque, donc rien de bien sensationnel dans ce livre.
On est juste bercé par l'onde pure de l'Hudson, on rencontre Ichabod Crane, instituteur, conteur et
amateur de sorcellerie ou du moins de leurs histoires effrayantes, qui vit au crochet des parents de ses élèves et choisit son gîte en fonction de son couvert. Il tombe amoureux de Katrina Van Tassel, la fille d'un des fermier les plus riches de la région et va devoir essayer de se mettre en avant, car son rival n'est autre que Brom Van Breunt, dit Brom Bones, le plus fort et plus bête du village, je n'ai pu m'empêcher de l'imaginer comme Gaston dans la Belle et la Bête de Walt Disney. Et voilà, en fait tout est déjà dit, il ne se passe pas grand chose. Sauf à la fin, où on s'approche du chevalier sans tête, mais est-ce vrai où seulement une farce, à vous de le deviner ?
Ce n'est pas que je n'ai pas apprécié ma lecture, je suis juste restée indifférente aux personnages, mais certains passages m'ont fait sourire puisqu'ils montrent l'état d'esprit de l'époque.
Citations :
"Il était, en outre, considéré par les femmes , un homme d'une grande condition ayant lu plusieurs livres jusqu'au bout."
"Balt Van Tasser avait l'esprit plutôt large, il aimait sa fille plus encore que sa pipe préférée."
Ce qu'il me reste dans la tête :
Ichabod fier comme un pape sur sa malheureuse monture qui est en train de trépasser.
Les barricades de l'école, pour y voler, au final rien.
Le mot de la fin :
Une nouvelle parue en 1820, qui traduit les contes et mystères de l'époque. Mais si vous êtes fan du film, n'approcher pas, vous ne pourrez qu'être déçu tellement on est loin de la revisite.
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